Ainsi va la vie.
Nos reves sont des miroirs
que la vie emprisonne
on s'impose une morale
comme unique garde fou
le vent porte ailleur
conquerants du nouveau monde
Nos reves portent ailleur
le vent du nouveau monde
conquérant d'une morale
on s'impose des prisons
la vie garde les fous
comme unique miroir
On jalonne de repères
des chemins invisible
nous créons des limites
qui nous semble infini
des lignes que l'on trace
dans des mers noirçient
On jalonne l'infini
des chemins de repères
nous créons l'infini
qui nous semble limite
des lignes noirçient
dans des mers que l'on trace
La socièté que l'on crée
un cliché éphemère
une mode selective
au standard de maigreur
le monde qui oubli
qu'un tiers crève de faim
Le monde selectif
au standard que l'on crer
un cliché de maigreur
une socièté éphemère
car dans le tiers monde
une mode de crève de faim
Pour combler nos vies ternent
on joue a la guerre
pour pardonner nos péchers
on s'invente des dieux
pour se faire des cadeaux
on croit au père noel
Pour combler nos péchers
on s'invente des guerres
pour pardonner les dieux
on joue les pères noel